L’article décrit la première année du troisième mandat de Lula en tant que président du Brésil. Lula gouverne dans un contexte politique difficile, car son parti est minoritaire au Congrès, ce qui entrave ses initiatives. Malgré sa réputation de négociateur habile, les progrès sont limités en raison de l’opposition du Congrès, dominé par divers lobbys. L’article souligne également les alliances complexes avec les gouverneurs d’États clés, souvent proches de Bolsonaro.
Lula a adopté le slogan « Union et reconstruction » pour contraster avec le bolsonarisme, axant sur la polarisation et la destruction des politiques publiques. Sur le plan international, Lula a voyagé intensivement, cherchant à restaurer la position du Brésil dans le monde. Cependant, ses efforts en matière d’écologie révèlent des contradictions, notamment dans sa relation avec le lobby de l’agro-business et les accords de libre-échange avec l’Union européenne. La politique énergétique, malgré des discours sur la décarbonation, inclut l’exploration pétrolière au large de l’Amazone.
Le texte évoque les défis d’une gouvernance entre rhétorique idéologique et pragmatisme, avec des questionnements sur la direction que Lula veut donner au pays.