L’étude, publiée jeudi dans Nature Climate Change par une équipe internationale, se penche sur l’Amazonie brésilienne, qui représente 60% de cette forêt primaire, et le constat est sombre.
Entre 2010 et 2019, cette forêt a perdu de sa biomasse : les pertes de carbone de l’Amazonie brésilienne sont environ 18% supérieures aux gains, a précisé dans un communiqué l’Institut français de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae).