Décadence, ambiances disparues, villes ou quartiers abandonnés, désertés, bâtiments délabrés, en ruine

« S’il est une denrée que le Brésil produit à foison, c’est bien la décadence », affirme Gilles Lapouge dans Équinoxiales.

En général, ce n’est qu’avec un grand recul de temps que l’on identifie ces décadences. « Ce n’est plus ce que ça a été ». Ambiances disparues, villes ou quartiers abandonnés, désertés, bâtiments délabrés, en ruine. Auxquels parfois le tourisme réussit à redonner une nouvelle vie post-décadence, qui peut devenir somptueuse. On peut ainsi faire le tour nostalgique des décadences brésiliennes liées aux cycles économiques du pays : sucre, café, coton, or, diamant, cacao, tabac, caoutchouc…

Un billet de Christian Pouillaude sur dictionnaireamicaldujardinoceanique