Cet article parle de l’hymne national brésilien et propose une traduction personnelle de ses paroles. L’auteur souligne que la connaissance de cet hymne est peu répandue en dehors des compétitions sportives internationales. Contrairement à la Marseillaise, l’hymne brésilien est de nature plus classique et met en valeur la beauté et la grandeur du pays.
L’article explique que la musique de l’hymne a été composée en 1822 par Francisco Manuel da Silva lors de l’indépendance du pays, mais il a fallu attendre un siècle pour que le texte, écrit en 1909 par Joaquim Osorio Duque Estrada, devienne officiel et définitif.
En analysant les paroles de l’hymne brésilien, l’auteur remarque qu’elles mettent en avant la nature et l’amour, mais parlent peu de ses habitants. Il souligne également l’absence de référence à Dieu, malgré la forte présence religieuse au Brésil.
L’auteur décrit certaines expressions du texte de l’hymne brésilien qui ont été largement utilisées, interprétées et critiquées, et il offre son propre point de vue sur celles-ci.
Il fait remarquer que l’hymne met en avant l’image d’un géant tranquille et pacifique, mais il trouve que cette représentation ne correspond pas à la réalité d’un Brésil agité et en proie à de nombreux problèmes internes.
L’auteur évoque également le contraste entre la taille et la richesse potentielle du Brésil, qui alimente l’idée d’un pays du futur, mais dont la réalisation reste incertaine.
Il mentionne la référence à la paresse dans les paroles de l’hymne, ce qui contraste avec la nécessité de travailler et de s’améliorer pour le développement du pays.
L’article souligne enfin que l’hymne national brésilien exalte la beauté de la nature du pays, mais ne reflète pas forcément la réalité sociale et les difficultés rencontrées par ses habitants. L’auteur propose que certaines chansons brésiliennes reflètent mieux la diversité et les aspirations du peuple brésilien.
En conclusion, l’article évoque une curiosité musicale : une « Grande Fantaisie Triomphale sur l’Hymne National Brésilien » composée par Louis Moreau Gottschalk en 1869, interprétée par le pianiste brésilien Nelson Freire.
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