Dans sa lettre de démission, le ministre de la Défense, le général Azevedo, a souligné l’importance de « préserver l’armée comme une institution d’État ». Une critique à peine voilée des tentatives du chef de l’État de politiser l’armée.
Jair Bolsonaro avait déjà réclamé la tête du commandant de l’armée de Terre, le général Pujol, favorable à des mesures de prévention contre la pandémie. Finalement, il a renvoyé les chefs des trois armées – Terre, Air et Mer – avant même que ceux-ci remettent leur démission.