Je trouve assez dégoutant que dans un pays comme le Brésil (avec un salaire minimum d’environs 250 Euros) les églises ont encore le culot d’exiger le fameux « dïme » ( du latin : decima, dixième) une contribution de 10 %, versée en nature ou en espèces, à une institution religieuse. Cette taxe est connue depuis la Rome antique et, mentionnée dans la Bible.
Elle jouerait un aussi rôle structurant dans la société féodale occidentale à partir du Moyen Âge.
D’ailleurs c’est aussi une spécialité de la fameuse « Eglise Universelle » du Brésil (la plus grande du pays) qui c’est déjà appropré des millards et (avec des technologies comptables hyper spécialilsés) blanchissent cet arget à l’étranger et le font revenir sous formes « investissements » (étant ainse propriétaire de la 2ième plus grande chaine de TV brésilienne).
Alors que le commun des communs doit donner une partie de son argent durement gagné pour avoir le « support moral » de la réligion.
En fin de compte, après les années de crise ce n’est pas étonnant que des millions de croyants (pas seulement les évangeliques) sortent des « institutions ».